Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

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rimird
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Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par rimird »

Bonjour à vous ami(e)s perché(e)s et aux autres aussi ;)

Pardonnez ce titre que certain(e)s peuvent trouver légèrement beauf (en espérant avoir fait rire les autres sans froisser personne), mais derrière celui-ci se cache une question qui me trotte dans la tête depuis que je me suis lancé dans mon projet d'écriture (en espérant que ce soit le bon endroit pour ce post).

Comment faîtes-vous pour définir la longueur de vos textes?

Personnellement j'ai l'impression que plus une production écrite sera longue plus elle a de chances d'être réussie (certainement un traumatisme de ma scolarité ou la longueur primait trop souvent sur la pertinence de l'écrit).
Le problème c'est qu'ayant dévoré pas mal de sagas d'héroïc fantasy (les bouquins de Robin Hobb, Glen Cook, ...) bah force est de constater que quand c'est long c'est bien. J'ai quand même lu des romans plus courts que j'ai adoré (coeur sur toi Jaworski) mais impossible de me détacher de cette idée de longueur et j'ai parfois l'impression que ça me joue des tours ...

Du coup j'aurais aimé savoir comment vous fonctionnez, si vous avez une idée de la longueur dès le début, si vous vous laissez porter par les lignes ou tout autre de fonctionnement. Et si je suis le seul dans cette situation ou pas :lol:

En espérant qu'en parler avec d'autres me fasse un déclic :)
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Nana
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par Nana »

Je ne sais pas trop comment je fais. A force, j'arrive à peu près avoir quelle taille ça ferait au bout, en fonction des péripéties envisagées, du rythme, même du type de narration (un roman choral est souvent plus long qu'un roman avec un seul pdv). Je ne prévois pas parfaitement, mais en général, je ne fais pas 300 ksec si j'en avais prévu 600, et inversement. J'arrive aussi à savoir combien de tomes ça va prendre, parce que j'ai des coupes logiques qui se dessinent.

Avant, je me prenais d'un peu la tête avec la longueur. Par exemple, je me disais qu'un chapitre, ça devait me faire au moins 4 pages A4, sinon c'était pas long, alors j'essayais de l'allonger. J'avais aussi un problème avec les descriptions. J'avais l'impression que mes descriptions étaient nulles car courtes. Alors qu'en réalité, on peut faire des bonnes descriptions en peu de mots. Et la taille des chapitres, ce n'est pas important, ça peut être très bien court aussi.

Maintenant que j'en ai pris conscience, je ne me prends plus la tête avec ça. J'écris et puis c'est tout. En correction, j'essaye d'enlever les longueurs ou d'étoffer quand il y a besoin, c'est selon (et sur un même manuscrit je peux faire les deux).
Pour moi une bonne histoire prend le temps qu'il lui faut. Si je dois faire un mammouth en plusieurs tomes, je fais un mammouth en plusieurs tomes. Si je dois faire un one-shot de 250ksec, je fais un one-shot de 250 ksec. Je ne me prends pas la tête avec ça. Ca ne sert à rien d'ajouter artificiellement des secs. On contraire, ça risque d'ajouter des longueurs. Ce n'est pas la taille qui compte, c'est la qualité
Dernière modification par Nana le 09 janv. 2021, 20:31, modifié 1 fois.
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Louve
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par Louve »

Pour la longueur... je ne suis pas très amatrice de nouvelles. J'en lis un peu, j'en écris un peu aussi, mais c'est rare parce que c'est un format qui me frustre souvent. Trop court, justement. Ca me donne la sensation de ne pas suffisamment creuser les personnages, les relations...
C'est pourquoi j'aime les romans pas trop courts, à partir de 500 ksec, je commence à vraiment trouver mon compte, souvent. Pour les sagas, certaines sont vraiment bien. Mais j'ai aussi souvent eu le cas des sagas à rallonges que j'adorais vraiment et qui ont perdu tout intérêt à force de rajouter des tomes, parce que l'auteurice finissait par tourner en rond ou montait toujours plus en puissance jusqu'à ce que ça en devienne d'un ridicule assez pitoyable (je pense notamment à des sagas de bit-lit).

Niveau écriture... j'ai toujours écrit des one-shot. Le problème, c'est qu'en général, quand j'arrivais à la fin d'un one-shot... bah j'avais un deuxième one-shot qui se dessinait dans le même univers, et parfois avec les mêmes personnages. C'est comme ça que je me suis retrouvée moi-même avec des sagas. :lol:
Mais jamais je n'ai entamé un projet en me disant "cette histoire va faire 7 tomes". Une histoire, un tome. Et ensuite... eh bien parfois (souvent, presque toujours) j'ai une nouvelle histoire qui s'ajoute derrière.
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Umanimo
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par Umanimo »

En tant que lectrice, je préfère, je dirais, le... moyen. Il faut vraiment que ce soit super passionnant pour que je supporte un texte long et je tombe rarement sur un texte qui me passionne à ce point. Quant aux sagas, de base, je n'ai pas envie de me lancer dedans. La seule chose qui pourrait me faire changer d'avis, c'est si chaque tome se tient seul. Un texte peut aussi me sembler pas assez long, mais c'est fort rare. On peut faire court et que tout se tienne.

En tant qu'autrice, j'ai tendance à écrire trop court (ça a toujours été, et ça faisait mon désespoir quand on me demandait un certain nombre de pages en français), ce qui est l'inverse de ce que la plupart des auteurices font. On dit souvent qu'en correction un manuscrit maigrit de tant de pour cent. Perso, il faut que je les fasse grossir. Mais à force d'écrire, j'ai appris à prendre un peu plus mon temps et à m'étendre plus sur les détails. Les descriptions, notamment, j'en faisais peu, parce que je voyais l'histoire dans ma tête et on me l'a reproché. Du coup, maintenant, je fais passer ce que je vois sur mon fichier et c'est mieux.
Sinon, je n'arrive jamais à estimer à l'avance la taille d'un texte et je n'essaye pas. Comme dit Coluche : "la bonne longueur pour les jambes, c'est quand elles touchent bien par terre", moi c'est "la bonne longueur pour un texte, c'est quand il arrive bien à la fin".
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takisys
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par takisys »

perso, j'arrive plus trop à lire de multilogie ou alors faut vraiment que ce soit passionnant (là en ce moment je lis la Passe- Miroir, mais ça fait un moment qu'elle traine dans ma PAL, parce que justement, c'est une multilogies)
Quand, j'ai commencé à écrire comme beaucoup d'auteurices, je me suis pourtant lancer sur une multilogie que j'ai fini par abandonnée :lol: j'en ai aucun regret (pas taper, Jo, mais plus le temps passe et moins j'ai la niak pour m'y replonger)
Aujourd'hui, y a trop de projets dans ma tête en attente d'être écrits pour que j'ai encore envie d'écrire du long. Ce qui m’empêche pas d'exploiter mes univers mais à travers des oneshots qui sont plus facile à placer auprès des éditeurs
Quand à prévoir la longueur d'un texte, comme ça a déjà été dit, je pense que ça vient avec le temps. Vient même un moment, ou si on te dit qu'un texte doit faire en 300 Ksec et 400 Ksecs, tu te dis, bon, ben cette intrigue est trop complexe, il faut que je revois ma copie, que je simplifie ou que j'écrive autre chose.
Après on peut aussi tricher, se focaliser durant l'intrigue et ensuite l'habiller pour l'étoffer à la réécriture. comme je suis pas très doué pour les syno détaillé, c'est souvent ce que je fais :mrgreen:
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Kahlan
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par Kahlan »

Je dirais que ce n'est pas ma première préoccupation, en fait. Je commence par écrire un synopsis plus ou moins détaillé, ça dépend, à partir de l'histoire que j'ai envie d'écrire. Je le travaille jusqu'à être convaincue que chaque chose a sa place et sa raison d'être. La longueur en découle ensuite logiquement, je dirais, sachant que mes chapitres font en moyenne 2500/3000 mots.
Bon après, ce n'est que pour le premier jet, parce qu'en phase de réécriture, mes histoires ont tendance à prendre du poids ! :roll:
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Eirolf
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par Eirolf »

Oh, c'est très intéressant parce que j'ai eu des prises de conscience sur ce sujet récemment...
À l'origine, j'écris "naturellement" des formats novella ou nouvelles longues, un format plutôt "bâtard" pour le milieu de l'édition. Ma toute première histoire, un whodunit à la Agatha Christie, pesait 120ksec, et lorsque j'ai rejoint un autre forum d'écriture avec ma première idée de SF, je voulais faire des nouvelles/novella autour d'un équipage de vaisseau, avec une aventure par petite histoire (projet qui est revenu à la fin de l'année dernière avec Explorations et pause café).

Et à l'époque, en découvrant le milieu de l'édition, en lisant des retours et recommandations d'autres auteurices etc., je me suis retrouvée à transformer cette idée d'histoires courtes en roman, d'abord une sorte de petite trilogie de textes qui restaient assez courts (autour de 250ksec) puis j'avais retravaillé le scénario en utilisant la méthode Truby pour en faire un tome unique.

Et en fait... je me suis rendu compte qu'inconsciemment, j'obéissais à une injonction de longueur standard par rapport au milieu de l'édition plutôt que de m'écouter...

Du coup maintenant, j'écoute mon intuition, mon inspiration, le genre d'histoires que je veux raconter, je laisse le format venir tout seul et si c'est trop court, bah, tant pis pour les éditeurs, j'ai envie de dire... Moi qui aime suivre des petites aventures de personnages récurrents à la manière des séries des années 90, en ce moment je suis revenue au format novella :mrgreen:
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takisys
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par takisys »

Eirolf a écrit : 10 janv. 2021, 09:43
Et en fait... je me suis rendu compte qu'inconsciemment, j'obéissais à une injonction de longueur standard par rapport au milieu de l'édition plutôt que de m'écouter...
certes et souvent cette injonction repose sur des bases économiques
Après, si à un moment, ça me posait problème, aujourd'hui beaucoup moins, parce que je suis capable de moduler plus facilement la longueur finale de mon texte et sans pour ça forcément altérer mon propos
Avoir pas mal jonglé entre les différent forma m'a peut-être aussi pas mal aidé, certaines de mes nouvelles ayant donné naissance à des romans :mrgreen:
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Vestrit
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par Vestrit »

Déjà, pour répondre à la question initiale : dans l'absolu, non, la taille ne compte pas.
Pour moi une histoire doit avoir la taille qui lui est nécessaire pour se développer.

Ensuite, d'un point de vue édito, ya des formats plus simples à caser que d'autres.
Comme plusieurs l'ont soulevé ici, les novella, c'est complexe. Mais cela dépend de leur taille. Il y a quelques éditeurices qui publient des novella, mais quand on regarde les jauges de taille des plus petites novellas acceptées et des plus grosses nouvelles acceptées sur d'autres supports... Bah ya des trous avec des longueurs incasables. :lol:
Pareil si on compare jauge haute des novellas et jauge basse des romans

Après, de l'autre côté du spectre, les éditeurs font clairement la gueule à partir d'une certaine longueur (c'est compliqué à fabriquer et vendre à un prix raisonnable les pavés). Et les sagas en plusieurs tomes ne sont pas ce qui est privilégié en ce moment sur le marché.

Mais c'est le marché, tout ça. Et si on commence à écrire en suivant le marché... Brah.

Perso, j'ai construit une jauge par l'expérience. Comme je l'ai expliqué sur d'autres sujets, je fonctionne de façon assez organique, donc j'ai du mal à dire comment, mais je sais, quand j'ai une idée, si c'est une petite idée (nouvelle), une idée de taille moyenne (une novella), une idée (roman court) ou une grosse idée (roman long), voire une très grosse idée si un jour cela se présentait.
Après, le secage de façon plus précise... Les nouvelles, je me laisse porter par le texte clairement. Les romans, comme je suis jardinière, je sais si je vise tel volume (mettons 400 ksec), et donc que la moitié doit être à tel endroit (200 ksec dans mon exemple), et j'adapte ma progression en fonction. Je crois que je projette ma gestion des secs de la gestion du temps que j'ai appris à l'école, en mode "il me reste tant de temps, je vais faire telle chose".
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Symphonie
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par Symphonie »

En terme d'écriture, j'ai du mal à faire court. C'est d'ailleurs en partie pour ça que je ne fais pas d'appels à textes, j'arrive jamais à faire ce que je veux en si peu de signes T_T

Et en même temps, pour ce qui est de la lecture, j'ai une prédilection pour les beaucoulogies, donc bon^^
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Atar
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par Atar »

C'est super intéressant comme discussion !

En ce qui me concerne j'en sais rien. Ca fait des années que j'écris des nouvelles, je me suis rendue compte que j'avais une prédilection pour les textes dits courts (entre 10 et 20 000 signes espaces comprises). Mais ça m'empêche pas de faire plus long.
Je suis du genre "jardinière" (du chaos) pour l'intrigue comme pour la longueur. Au pire... on verra aux corrections ? :joy:
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Lilia
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par Lilia »

Après avoir été longtemps surprise par mon nombre de mots (j'écrivais sans rien prévoir), j'ai revu ma méthode et j'arrive désormais prévoir assez bien ta taille finale de mes histoires. Là, j'ai plusieurs projets de planifié, toujours avec un nombre de mots associé. Je pense qu'avec un peu d'expérience, on se connait, et avec la préparation, on arrive à tomber assez juste sur le nombre de mots final. Je pense aussi qu'inversement, en se fixant un nombre de mot, on calibre ses chapitres pour ne pas faire trop court ni trop long, on obtient ce donc ce qu'on a prévu, en partie parce qu'on la prévu.
Je lis de tout. J''ai une préférence pour les beaucoulogies (terminées de préférences), mais je sais que je ne suis pas capable d'écrire des sagas encore, ni des histoires trop trop longues (Au dessus de 700k sec, ça commence à faire pas mal). Inversement, je ne cherche pas à écrire des beaucoulogies ni des gros pavés, parce qu'il est difficile à placer des beaucoulogies et des pavés chez les éditeurs quand on est inconnus comme moi. Bref, l'un dans l'autre, je m'y retrouve.
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Lullaby
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par Lullaby »

J'ai longtemps été novelliste mais j'avais, déjà, quelques idées de roman. En général, quand une idée/un pitch se pointe, je sens déjà si l'histoire sera une nouvelle ou un roman (voire une novella).

Par contre, je reste incapable de déterminer avec précision le nombre de signes que fera un roman avant de l'avoir bien entamé. Pour le dernier en date, par exemple, je l'ai entamé en pensant qu'il ne ferait qu'une taille moyenne et arrivée au milieu (soit à la taille que je pensais qu'il ferait), j'ai réalisé qu'en fait il fera le double !
Du coup, quand j'entame un roman, je me fixe une longueur à la louche mais je sais qu'elle n'est qu'indicative.
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Ash
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Re: Ce n'est (normalement) pas la taille qui compte

Message par Ash »

J'avoue que parfois, j'ai peur que ce soit trop court. Mais en général, quand je me lance dans un roman, j'ai tellement préparé le truc que je sais au minimum le nombre de chapitres. Pour ma trilogie, je savais que j'en ferais trois ... un peu au hasard mais ça m'en a bien fait 3. Quant au nombre de chapitres, 17 chaque tome et le nombre de pages est resté très constant sans que je ne le fasse exprès. A voir si les prochains seront pareils mais c'est vrai que je trouve ça toujours assez exceptionnels les gens qui savent combien de pages ils vont faire à l'avance :O
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